Des lanternes de 청계천 au Samarkand de 동대문 - 20 novembre

Un autre dimanche à Séoul... Rendez-vous pris sur la 청계천 (Cheonggyecheon) pour aller voir le festival des lanternes (vu l'an dernier), le dernier soir bien entendu !

Comme les lanternes ne sont pas très intéressantes le jour, je livre deux photos de paysage urbain en fin d'AM.

Nous sommes arrivés un peu en avance pour les lanternes et, avec le froid ambiant, il n'en fallait pas plus pour prétexter un petit cocktail réparateur. A 16h00, certains prennent un goûter, d'autres un black russian ou un french kiss.

Le moment venu, nous avons pointé le bout de notre nez déjà rosi par les cocktails dans le froid saisissant de l'hiver séoulite, exacerbant un peu plus le rougeoiement des-dits appendices.

Le froid pinçait sévèrement, si bien qu'entre deux photos je trouvais Chris en plein espionnage de prix d’écharpes, pour ne pas se faire trop violemment prendre pour un con par la vendeuse. Soit dit en passant, ce ne fut pas le cas. Il a même eu du rabais...

La suite donc, avec une écharpe pour le Chris.

Arrivés au bout de la ballade, menée sur un rythme militaire nord-coréen,  nous avons hélé un tacos afin de nous rendre sur le lieu du dîner. Direction 동대문, world cup stadium exactement, sortie 12 pour ceux que ça intéresse. Peu à dire vrai...

Nous étions donc au Samarkand pour essayer la cuisine d’Ouzbékistan. Original ! Da ! Ben pas tant que ça... En arrivant, la carte nous laisse perplexe, on discute sans fin, on s'engueule, à deux doigts de la crise de nerfs, presque rien en alphabet latin, tout en coréen et cyrillique, mais bon, on s'en sort ! Chris lit le cyrillique mais comme il ne sait pas ce qu'il lit...

Victorieux, on appelle la serveuse. Elle arrive et nous parle dans un français impeccable... Deux ronds de flanc... Elle a fait un master de français par chez elle puis est venue à Séoul où elle a obtenu un doctorat en français sans... wait for it... jamais mettre un orteil en France. Dépaysant donc... Restait donc la bouffe et la vodka.

Ci-dessous, Chris avant la Vodka

Puis nous après la vodka

C’était globalement pas mal et surtout pas cher. Alcool et bouffe pour 26 000 wons par personne, ça passe bien. Surtout qu'on a commandé pas moins de 7 plats différents.

En bilan rapide, les salades faisaient un peu cantine, mais bonnes tout de même.

Les mandus... bof... ça fait genre cuisine fusion mais bon, mauvais choix.

Le kebab : viande d'agneau très forte, du goût quoi, avec des frites maison bonnes mais un peu grasses.

Les brochettes (poulet et agneaux) bien marinées, tendres, juteuses et bien cuites.

Les pains: un pain à la viande bien goûteux et épicés, l'autre plus commun.