mercredi 25 mai 2011

La mini-jupe en Coree

La mini-jupe fait débat en Corée du sud, notamment dans les établissements scolaires où on estime que lesdites jupes ont perdu 10 a 15 centimètres en 10 ans. Ce qui est marrant, c'est que les autorités de la province du Gangwon envisagent un investissement de 494 000 euros pour financer l’aménagement de 50 000 tables de classe afin que ces demoiselles puissent s'asseoir en toute quiétude. Peut-être serait-il moins coûteux pour le contribuable de réglementer une longueur de jupe dans les établissements scolaires. Le port d'uniforme étant obligatoire, je ne vois pas en quoi l'instauration d'une taille minimale de la jupe serait attentatoire à une quelconque liberté - sinon celle de susciter palpitement et sueur chez les écoliers.

Ceci dit, les étudiantes coréennes sont bien inspirées, pour preuve ces photos de la chanteuse Hye-Ri, 17 ans, star de K-Pop :



Boarpf ! Peccadilles que tout cela ! La France a notamment eu, entre autres, Mallaury Nataf. Rappelez-vous, cette absence notable de petite culotte sur scène.

Bref. Je voulais en venir à une différence entre jeunes filles coréennes et françaises. En Corée, l'homo occidentalis est agréablement surpris par les jupes que les coréennes portent en toute saison, sans, par ailleurs, que la taille des jupes ait un quelconque rapport avec la saison ! Mais force est de constater que ces jupes sont souvent très courtes (ici, un petit article d'une blogueuse qui s'amuse de la technique de la mini-jupe en Corée).
Et bien ce n'est qu'une question de mœurs. Les hommes coréens doivent être agréablement surpris quand, arrivant en France, ils croisent une demoiselle avec un décolleté plongeant sur... le nombril... ou lorsqu'une jeune demoiselle désœuvrée utilise son string comme bretelles pour tenir son pantalon taille ultra-basse (j’exagère à peine).

J'ose à peine imaginer un mélange de ces deux tendances. Quand on pense à toutes ces années d’évolutions pour perdre nos poils et confectionner des habits pour finir... a poil !

2 commentaires:

  1. Un père désespéré !25 mai 2011 à 04:07

    Tu n'as vraiment rien à foutre pour te perdre dans de telles conjonctures inutiles et vaines !

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  2. C'est vrai que ce que tu dis ou écris est toujours d'une telle intensité...

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