Un peu d'histoire (source : http://french.visitkorea.or.kr/fre/CU/CU_FR_6_3_6_1_3.jsp)
En 1394, le roi Taejo, fondateur de la dynastie Joseon, ordonna de faire de Hanyang (aujourd’hui Séoul) la capitale de la Corée. Le roi Taejo demanda ainsi la construction du sanctuaire de Jongmyo, à gauche du palais de Gyeongbokgung et à droite du Sajikdan pour rendre hommage au dieu de la terre et des récoltes. Le sanctuaire royal de Jongmyo fut complété en 1295, un an après avoir changé de capitale et avant l’achèvement de la construction du palais Gyeongbokgung.
Pourquoi construire Jongmyo et Sajikdan de chaque coté du palais principal ?
Étant donné que Jongmyo est le sanctuaire royal pour les cérémonies et rituels et le Sajikdan (un autel en hommage au dieu de la terre et des récoltes) il est supposé que les fondateurs de la dynastie Joseon attribuaient au palais Gyeongbokgung des valeurs spirituelles et divines.
Le sanctuaire royal de Jongmyo est le lieu sacré du confucianisme, qui a joué un rôle majeur dans l’instauration de l’idéologie confucianiste pendant la dynastie Joseon (notez que l’idéologie confucianiste ne rendait pas hommage à un Dieu comme le christianisme ou le bouddhisme, mais aux ancêtres). Il fut d’ailleurs le premier bâtiment à être reconstruit après sa destruction lors de l’invasion japonaise en 1592.
Le sanctuaire de Taemyo à Pékin en Chine était l’équivalent du sanctuaire de Jongmyo en Corée mais la révolution communiste de 1949 a enterré la culture du Confucianisme et les cérémonies et rituels ont cessé d’avoir lieu depuis cette période. Au japon, le sanctuaire qui rend hommage aux empereurs décédés est un peu différent de celui de Jongmyo en Corée puisque l’empereur est encore aujourd’hui très présent dans la société japonaise.
Toute la particularité du sanctuaire de Jongmyo se résume dans son pouvoir d’exercer encore aujourd’hui la continuité du Confucianisme même après la chute de la dynastie Joseon.
En 1394, le roi Taejo, fondateur de la dynastie Joseon, ordonna de faire de Hanyang (aujourd’hui Séoul) la capitale de la Corée. Le roi Taejo demanda ainsi la construction du sanctuaire de Jongmyo, à gauche du palais de Gyeongbokgung et à droite du Sajikdan pour rendre hommage au dieu de la terre et des récoltes. Le sanctuaire royal de Jongmyo fut complété en 1295, un an après avoir changé de capitale et avant l’achèvement de la construction du palais Gyeongbokgung.
Pourquoi construire Jongmyo et Sajikdan de chaque coté du palais principal ?
Étant donné que Jongmyo est le sanctuaire royal pour les cérémonies et rituels et le Sajikdan (un autel en hommage au dieu de la terre et des récoltes) il est supposé que les fondateurs de la dynastie Joseon attribuaient au palais Gyeongbokgung des valeurs spirituelles et divines.
Le sanctuaire royal de Jongmyo est le lieu sacré du confucianisme, qui a joué un rôle majeur dans l’instauration de l’idéologie confucianiste pendant la dynastie Joseon (notez que l’idéologie confucianiste ne rendait pas hommage à un Dieu comme le christianisme ou le bouddhisme, mais aux ancêtres). Il fut d’ailleurs le premier bâtiment à être reconstruit après sa destruction lors de l’invasion japonaise en 1592.
Le sanctuaire de Taemyo à Pékin en Chine était l’équivalent du sanctuaire de Jongmyo en Corée mais la révolution communiste de 1949 a enterré la culture du Confucianisme et les cérémonies et rituels ont cessé d’avoir lieu depuis cette période. Au japon, le sanctuaire qui rend hommage aux empereurs décédés est un peu différent de celui de Jongmyo en Corée puisque l’empereur est encore aujourd’hui très présent dans la société japonaise.
Toute la particularité du sanctuaire de Jongmyo se résume dans son pouvoir d’exercer encore aujourd’hui la continuité du Confucianisme même après la chute de la dynastie Joseon.
Sab avec notre groupe, des japonais. La visite de groupe était obligatoire, mais il fallait attendre 1h30 pour la faire en anglais... Visiter des tombes royales coréennes en japonais, c'est pas mal ! Par contre, une employée fermait la marche, ne nous laissant pas le droit de nous attarder, un peu pénible.
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